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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 01:20

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Réalisation : Joseph Gordon-Levitt

Scénario : Joseph Gordon-Levitt

Producteur : Ram Bergman

Musique : Nathan Johnson

Lumière : Thomas Kloss

Montage : Lauren Zuckerman

Avec Joseph Gordon-Levitt, Scarlett Johanson, Julianne Moore, Tony Danza, Glenne Headly....

 

 


 

 

 

Jon Martello est un beau mec que ses amis ont surnommé Don Jon en raison de son talent à séduire une nouvelle fille chaque week-end. Mais pour lui, même les rencontres les plus excitantes ne valent pas les moments solitaires qu’il passe devant son ordinateur à regarder des films pornographiques.
Barbara Sugarman est une jeune femme lumineuse, nourrie aux comédies romantiques hollywoodiennes, bien décidée à trouver son Prince Charmant.
Leur rencontre est un choc, une explosion dans la vie de chacun. Bourrés d’illusions et d’idées reçues sur le sexe opposé, Jon et Barbara vont devoir laisser tomber leurs fantasmes s’ils veulent avoir une chance de vivre enfin une vraie relation… (résumé Allociné... le point de vue de Barbara n'étant pas réellement explicité dans le film et ne va justement faire aucun effort... comment ça caractérisation des personnages faiblardes?)

 

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"C'est pas parce que j'ai été femme de ménage que tu peux me prendre la tête."

 

Le registre du premier film d'un acteur passant derrière la caméra est toujours le plus casse-gueule. En effet, un acteur aura toujours tendance a privilégier le "jeu" sur la forme. Et quid de son image? L'acteur aura tendance à la privilégier sur tout autre considération. Joseph Gordon-Levitt, acteur éminement apprécié par moi-même aura-t-il réussi soit à sortir de l'ornière où la plupart des premiers films d'acteur sont tombés (trop se glorifié ou trop s'enlaidir?) La réponse est... un peu des deux mon Capitaine.

Sur le thème (bateau mais toujours efficace) du héros tombeur qui doit changer pour garder la femme qu'il désire, l'histoire de Don Jon se pose un peu là. Car les poncifs affluent et avec une pseudo histoire sur un accroc du porno, avec une pseudo réflexion sur la place de la femme dans notre société. (Le porno c'est mal surtout celui sur les "tubes" par contre les pornos hippies où on respecte l'image de la femme, là c'est beaucoup mieux.)

Et puis, il y a cet attitude parfaitement tête à claque de notre personnage principal, tout muscle dehors qui se regardent. Joseph Gordon-Levitt, on se le demande, aurait-il un besoin de se montrer, de faire sortir ses muscles dans une sorte de gloire à lui-même qui est assez lourdingue.

Reste quand même deux acteurs qui tirent le haut du pavé. Non, pas Scarlett Johanson dans un rôle de potiche plastiquement parfaite, mais Julianne Moore en quinqua fragile et Tony Danza qu'on avait plus vu depuis un moment dans un rôle de père rustre qui fait plaisir à voir.

 

Et le bonus, rien que pour l'intro... et puis on se bouge, on se bouge, on se bouge :

 


 
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