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4 mars 2013 1 04 /03 /mars /2013 23:21

Réalisation
Richard Donner  
 
Scénario
David Seltzer  

Avec

Gregory Peck ... Robert Thorn

Lee Remick ... Katherine Thorn

David Warner ... Jennings

Billie Whitelaw ... Mrs. Baylock

Harvey Stephens ... Damien

Patrick Troughton ... Father Brennan
  Martin Benson ... Father Spiletto
  Robert Rietty ... Monk
  Tommy Duggan ... Priest
  John Stride ... The Psychiatrist
  Anthony Nicholls ... Dr. Becker

Holly Palance ... Nanny
  Roy Boyd ... Reporter
  Freda Dowie ... Nun
  Sheila Raynor ... Mrs. Horton
  Robert MacLeod ... Horton
  Bruce Boa ... Thorn's Aide
  Don Fellows ... Thorn's Second Aide
  Patrick McAlinney ... Photographer
  Dawn Perllman ... Chambermaid
  Nancy Mannigham ... Nurse (en tant que Nancy Manningham)
  Miki Iveria ... First Nun
  Betty McDowall ... American Secretary

Nicholas Campbell ... Marine
  Burnell Tucker ... Secret Service Man
  Ronald Leigh-Hunt ... Gentleman at Rugby Match
  Guglielmo Spoletini ... Italian Taxi Driver
  Ya'ackov Banai ... Arab (en tant que Yakov Banai)
 
  Harvey Bernhard ... Man walking across street (non crédité)

Leo McKern ... Carl Bugenhagen (non crédité)
  Bill Reimbold ... General (non crédité)
  Christine Spooner ... Funeral mourner (non crédité)

Damian John Spooner ... Boy at top of slide (non crédité)

 

Production
Harvey Bernhard .... producteur
Mace Neufeld .... producteur executif
Charles Orme .... producteur executif
 
Musique originale
Jerry Goldsmith  
 
Lumière
Gilbert Taylor   (directeur de la photographie)
 
Montage

Stuart Baird

 

 

 

 


 

 

 

La femme du gouverneur ayant accouché d'un mort-né, celui-ci est remplacé par un autre enfant... après enquête et de sombres présages, il s'avérera que celui-ci n'est autre que le fils de l'anté-christ et qu'il serait de bon ton d'en finir... mais bon, c'est qu'un bébé et Gregory Peck a du mal à tuer un enfant.

 

Un visage d'ange mais je vous raconte pas ce qu'il y a sous les croix.

 

J'avoue avoir raccourcie pas mal le film dans mon résumé mais c'est bien ainsi que l'ensemble de l'oeuvre peut être résumé. Petit chef d'oeuvre du film d'ambiance, la Malédiction est classique. La tension monte doucement (mais sûrement pour finri atteindre un paroxysme rarement égalé dans un climax a faire dans son slibard. On aime ou pas le rythme lent de la chose (qui a dû aidé au remake des années 2000 dont on parlera ici prochainement.)

Et puis, il y a la musique de Jerry Goldsmith qui est resté graver dans les mémoires.

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