The Act of killing - L'acte de tuer (The Act of killing, Joshua Oppenheimer et Christine Cynn et ???, 2012)

Réalisation

Joshua Oppenheimer
Anonymous
Christine Cynn

Avec 

	Haji Anif	...	Himself
	Syamsul Arifin	...	Himself
	Sakhyan Asmara	...	Himself
	Anwar Congo	...	Himself
	Jusuf Kalla	...	Himself
	Herman Koto	...	Himself
	Haji Marzuki	...	Himself
	Safit Pardede	...	Himself
	Ibrahim Sinik	...	Himself
	Soaduon Siregar	...	Himself
	Yapto Soerjosoemarno	...	Himself
	Adi Zulkadry	...	Himself

Production
Anonymous	....	producteur associé
Anonymous	....	line producer
Christine Cynn	....	producteur associé
Torstein Grude	....	producteur executif
Werner Herzog	....	producteur executif
Maria Kristensen	....	producteur associé
Anne Köhncke	....	producteur associé
Errol Morris	....	producteur executif
Joshua Oppenheimer	....	producteur associé
Lizzy Ratner	....	producteur associé
André Singer	....	producteur executif
Signe Byrge Sørensen	....	producteur
Joram ten Brink	....	producteur associé
Joram ten Brink	....	producteur executif
Bjarte Mørner Tveit	....	producteur executif
Michael Uwemedimo	....	producteur associé

Musique originale
Karsten Fundal

Lumière
Anonymous
Carlos Arango De Montis
Lars Skree

Montage
Nils Pagh Andersen
Erik Andersson
Charlotte Munch Bengtsen
Janus Billeskov Jansen
Ariadna Fatjó-Vilas
Mariko Montpetit

Lorsque Joshua Oppenheimer se rend en Indonésie pour réaliser un documentaire sur le massacre de plus d’un million d’opposants politiques en 1965, il n’imagine pas que, 45 ans après les faits, les survivants terrorisés hésiteraient à s’exprimer. Les bourreaux, eux, protégés par un pouvoir corrompu, s’épanchent librement et proposent même de rejouer les scènes d’exactions qu’ils ont commises. Joshua Oppenheimer s’empare de cette proposition dans un exercice de cinéma vérité inédit où les bourreaux revivent fièrement leurs crimes devant la caméra, en célébrant avec entrain leur rôle dans cette tuerie de masse. "Comme si Hitler et ses complices avaient survécu, puis se seraient réunis pour reconstituer leurs scènes favorites de l’Holocauste devant une caméra", affirme le journaliste Brian D. Johnson.
Une plongée vertigineuse dans les abysses de l’inhumanité, une réflexion saisissante sur l’acte de tuer.

Documentaire fort sur ces hommes qui ont commis "lacte de tuer". Fort mais nécessaire.

Nous sommes ici, à la frontière du dicible (il paraît que ce terme existe), là, où même les paroles sont d'une violence rare. La reconstitution des meurtres, reconstitués par les bourreuax eux-mêmes est presque insoutenable tant, il y a de la force et des détails dans les propos. Nous ne sommes plus dans ce monde atrificiel qu'est le cinéma, la frontière est abolie. La seule frontière est la caméra et encore elle est bien mince car le réel et la saleté reprend le dessus.

Sans concession, l'art de tuer n'est pas à mettre devant tout les yeux.

Note du Capitaine : c'est juste des types qui en ont buté d'autres. C'est quoi ce binz????