Une chanson pour ma mère (Joel Franka, 2012)

Réalisation
Joel Franka		(en tant que Joël Franka)

Scénario
Joel Franka
Gladys Marciano
Benoît Mariage

Avec 

	Patrick Timsit	...	Jean
	Sylvie Testud	...	Sylvie
	Dave	...	Himself
	Alain Bellot	...	Le fermier ami de famille
	Alain Fryns	...	Policier 1
	Mathilde Goffart	...	Adeline
	Guy Lecluyse	...	Simon
	Sam Louwyck	...	Antoine
	Damien Marchal	...	Policier 2
	Michèle Moretti	...	La Maman
	Fabrizio Rongione	...	Michel

Production
Yves Darondeau	....	producteur
Christophe Lioud	....	producteur
Adrian Politowski	....	co-producteur
Emmanuel Priou	....	producteur
Gilles Waterkeyn	....	co-producteur

Musique originale
David Reyes

Montage
Joel Franka

Quelque part dans les Ardennes, aujourd’hui…
C’est parce qu’ils adorent leur maman qui est en train de disparaitre, que les membres de cette famille décomposée décident de lui offrir le plus incroyable des cadeaux d'adieu: Dave, le chanteur, son idole, en personne !
Mais ce projet délirant est peut-être un peu trop ambitieux pour ces frères et soeurs qui croulent sous les non-dits et le silence depuis si longtemps.
Leur amour pour leur mère et la force des liens familiaux retrouvée va leur donner le courage et la folie nécessaire pour atteindre leur but. Au grand désespoir de Dave, leur victime d’un soir…

Entièrement construit autour des conflits ce mélo très sirupeux est vite intenable. (Et là, comment finir ma chronique? sans déflorer trop l'intrigue?) Conflits au sein de la famille, conflits entre la famille et Dave (qui on va le dire sans détour sauve le film, c'est la première fois que je dis ça de lui.... ça fait très bizarre.)

Mise en scène ûber fonctionnel, sans vrai fulgurance mais avec des vrais doses de mélo dedans. Mais pas le petit mélo, le gros, celui qui est bien lourd avec de la musique tire-larme. Ca nous rappelle Sous le figuier sortit il y a peu. (Oui, en France on fait un peu toujours les mêmes films)

Note du Capitaine : Bon, je vais pas vous mentir, c'est vraiment pas mon genre de film. Alors on passe et on vois autre chose.