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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 21:36

http://static.cinebel.be/img/movie/poster/full/10814_fr_la_religieuse_1362057643640.jpg

 

 

Réalisation
Guillaume Nicloux  
 
Scénario
Denis Diderot   Livre

Guillaume Nicloux   Adaptation
Jérôme Beaujour   Adaptation
Avec 

Pauline Etienne ... Suzanne Simonin

Isabelle Huppert ... Supérieure Saint Eutrope
  Agathe Bonitzer ... Soeur Thérèse
  Alice de Lencquesaing ... Soeur Ursule
  Gilles Cohen ... Père de Suzanne
  Marc Barbé ... Père Castella
  François Négret ... Maître Manouri

Lou Castel ... Baron de Lasson
  Nicolas Jouhet ... Prêtre Sainte Marie
  Pascal Bongard ... L'Archidiacre
  Pierre Nisse ... Marquis de Crois Marie
 

Louise Bourgoin ... Supérieure Christine

Alexia Depicker ... Soeur Camille
  Eloïse Dogustan ... Soeur Pauline
  Jean-Yves Dupuis ... Célestin

Martina Gedeck ... Mère de Suzanne
  Françoise Lebrun ... Madame de Moni

 

Production
M. Reza Bahar .... co-producteur
Jacques-Henri Bronckart .... co-producteur
Olivier Bronckart .... co-producteur
Sylvie Pialat .... producteur executif
Benoît Quainon .... producteur
Nicole Ringhut .... co-producteur
 
Musique originale
Max Richter  
 
Lumière
Yves Cape  
 
Montage
Julie Brenta  
Guy Lecorne  

 


 

XVIIIe siècle. Suzanne, 16 ans, est contrainte par sa famille à rentrer dans les ordres, alors qu’elle aspire à vivre dans « le monde ». Au couvent, elle est confrontée à l’arbitraire de la hiérarchie ecclésiastique : mères supérieures tour à tour bienveillantes, cruelles ou un peu trop aimantes… La passion et la force qui l’animent lui permettent de résister à la barbarie du couvent, poursuivant son unique but : lutter par tous les moyens pour retrouver sa liberté.

 

http://www.wbimages.be/uploads/tx_cfwbavmtables/La_Religieuse_-_Les_Films_du_Worso.jpg

 

Lointainement inspiré de La Religieuse de Diderot, ce film traite de la condition féminine et de son émancipation à une éqpoue où les femmes n'avaient que deux choix.... la maternité ou les ordres.

Une belle révélation tout d'abord, celle de Pauline Etienne, excellente actrice qui aura on l'espère une longue carrière.

Le travail sur la lumière est épatant, mélangeant les couleurs chaudes et froides suivant les scènes.

Cruel sans être voyeuriste Guillaume Nicloux touche juste en dépeignant des nonnes enfermés dans un système qui ne leurs laisse que peu de choix.

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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 10:27

http://www.cinemagora.com/images/films/65/134065-b-adoration.jpg

Réalisation
Atom Egoyan  
 
Scénario
Atom Egoyan  

 

Avec 

Devon Bostick ... Simon

Rachel Blanchard ... Rachel
  Louca Tassone ... Young Simon

Kenneth Welsh ... Morris
  Yuval Daniel ... Security Agent

Scott Speedman ... Tom
  Jeremy Wright ... Delivery Guy

Arsinée Khanjian ... Sabine

Noam Jenkins ... Sami

Thomas Hauff ... Nick

Martin Roach ... Car Owner

Ieva Lucs ... Berating Woman

Katie Boland ... Hannah

Hailee Sisera ... Jennifer
  Lia Bellefontaine ... Student On-Line
  Jermaine Crooks ... Student On-Line
  Hannah Fogel ... Student On-Line
  Celeste Howard ... Student On-Line
  Jamie McMillan ... Student On-Line
  Yunus Mohamed ... Student On-Line
  Nariné Martiros-Gharakhanian ... Student On-Line
  Victor Nhan ... Student On-Line
  Tristan Parlette ... Student On-Line
  Lucas Paulino ... Student On-Line
  June Rogers ... Student On-Line
  Kevin Tung ... Student On-Line
  Jack Blum ... Passenger & Professor On-Line

Maury Chaykin ... Passenger & Professor On-Line
  Sharon Corder ... Passenger & Professor On-Line
  Vera Frenkel ... Passenger & Professor On-Libe
  Marc Glassman ... Passenger & Professor On-Line
  Shel Goldstein ... Passenger & Professor On-Line
  Paul Soles ... Passenger & Professor On-Line
  Janice Stein ... Passenger & Professor On-Line

Geraldine O'Rawe ... Carole

Duane Murray ... Parking Security
  Dominic Cuzzocrea ... Taxi Driver (en tant que Domenic Cuzzocrea)

Tony Nardi ... School Principal

Aaron Poole ... Daniel

Soo Garay ... Granddaughter
  Bathsheba Garnett ... Holocaust Survivor
  Michael Barry ... Skinhead
  Ron Bell ... Bus Driver

 

Production
Atom Egoyan .... producteur
Marcy Gerstein .... producteur associé
Robert Lantos .... producteur executif
Laurent Pétin .... producteur executif
Michèle Pétin .... producteur executif (en tant que Michele Halberstadt)
Stephen Traynor .... line producer
Simone Urdl .... producteur
Jennifer Weiss .... producteur
 
Musique orignale
Mychael Danna  
 
Lumière
Paul Sarossy  
 
Montage
Susan Shipton  

 


 

Devant sa classe, simon raconte l'histoire de ses parents. alors qu'elle était enceinte de lui, sa mère, canadienne, fut arrêtée dans un aéropport israélien avec une bombe, que son compagnon palestinien avait placé dans son bagage à son insu. Simon discute sur internet avec ses camarades, et son histoire se répand dans des forums extérieurs au lycée. Mais ce passé n'est, en vérité, pas le sien : encouragé par Sabine, son professeur de français, il s'est appropiré un fait divers, dont le récit avait fait l'objet d'un exercice de traduction. Les parents de Simon, Sami et Rachel, sont en dfait décédés dans un accident de voiture il y a quelques années. Depuis, Simon vit avec tom, le frère de Rachel.

 

http://1.bp.blogspot.com/_t3gj6mF7ug0/SS_4DHeL8VI/AAAAAAAAACk/gC3TXL64v6Y/s400/adoration-movie.jpg

 

Avec Adoration, atom Egoyan explore de nouveau les thèmes qui ont toujours hanté sa filmographie : la recherche de la vérité, les questionnnements sur notre identité, la connaissance de nos racines... Dans la première partie de son film, il cherche à analyser la façon dont internet fragilise la notion de vérité, à montrer la manipulation de l'information, et à remettre en cause la rapidité de réaction du web et les dérives qu'elle peut engendrer. Il aborde donc un sujet complétement d'actualité. Mais, à mesure que son récit se développe, Adoration élargit son champ d'action et brasse de plus en plus de thèmes : le terrorisme, l'intégration des immigrés au Canada, etc. Puis, finalement, il choisit de se concentrer sur un drame familial en définitive relativement classique. egoyan semble donc ne multiplier les pistes que pour mieux les abandonner ensuite, et revenir à une histoire qui nous intéresse beaucoup moins! Comme si l'évocation de ces problèmatiques modernes et complexes n'étaient utilisées que comme un effet de signature. Ou comme si egoyan n'avait pas osé aborder directement le récit familial, et l'avait camouflé derrière une construction très complexe et peu clinquante. Loin de la grâce et de la subtilité dont il faisait preuve dans ses premiers films, le cinéaste, cette fois, verse parfois dans l'esbroufe, et nous manipule de façon un peu inutile. Car ses personnages, noyés dans une narration alambiquée et un scénario trop bavard, n'ont que peu d'existence. Du coup, rien dans le film ne parvient à avoir un réel impact.

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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 09:46

http://www.web-libre.org/medias/affiche-films/a8baa56554f96369ab93e4f3bb068c22.jpg

 

TRéalisation
Guy Ritchie  
 
Scénario
Guy Ritchie   Scénario
Lina Wertmüller   Scénario de 1974Travolti da un insolito destino nell'azzurro mare d'agosto (non crédité)

Avec

Bruce Greenwood ... Tony

Madonna ... Amber

Elizabeth Banks ... Debi

Michael Beattie ... Todd

Jeanne Tripplehorn ... Marina

David Thornton ... Michael

Yorgo Voyagis ... Captain

Ricardo Perna ... Crew Member

Adriano Giannini ... Giuseppe
  George Antoni ... Chef (en tant que George Yiasoumi)
  Beatrice Luzzi ... Rich Lady
  Lorenzo Ciompi ... Rich Man
  Patrizio Rispo ... Burly Captain

Francis Pardeilhan ... Tony's Assistant
  Rosa Pianeta ... Receptionist
  Andrea Ragatzu ... Bell Boy
 
  Anna Cachia ... Fishmonger (non crédité)

 

Production
Adam Bohling .... co-producteur
Michael Morgan .... producteur associé
David Reid .... co-producteur
Matthew Vaughn .... producteur
 
Musique originale
Michel Colombier  
 
Lumière
Alex Barber  
 
Montage
Eddie Hamilton  

 


 

Tony et amber Leighton ont invité des amis à faire une croisière sur un yacht en Méditerrannée. De la Grèce à l'Italie! amber est désagréable avec tout le monde, fait des caprices et harcèle Giuseppe Esposito, un des matelots. La vie des milliardaires se déroule sans histoire : cocktails, baignades, farniente, visite lors des escales.... jusqu'au jour où Amber exige que Giuseppe l'emmène voir des grottes en bateau. Le canot tombe en panne, les courants les font dériver. La nuit tombe sur la frêle esquif, une journée passe, nouvelle nuit avec tempête et enfin une île apparait. Une île petite et déserte où une cabane de pêcheurs est la seule trace d'humanité.

 

http://image.toutlecine.com/photos/a/0/l/a-la-derive-2002-27-g.jpg

 

L'amour peut parfois vous conduire à faire n'importe quoi! ainsi, Guy ritchie le réalisateur des prometteuses "tarantineries" (Arnaques, crimes et botanique ou Snatch) s'égare ici dans l'inutile adaptation d'un petit film italien des années 70 au titre évocateur "Vers un destin insolite sur les flots bleus de l'été". Le fit d'être compagnon de Madonna à la ville a du mal à excuser un tel manque de constance dans son inspiration. Car ici, il ne parvient jamais à s'approprier son film, cède souvent à l'academisme et à la mièvrerie, et n'hésite pas à flirter avec le ridicule (Giuseppe courant au ralenti vers l'hélicoptère qui emporte l'américaine). Cela étant, passés ces espoirs déçus, A la dérive reste un petit film qui se laisse regarder sans déplaisir. superbe carte postale des îles grecques, il vous donne une furieuse envie de vacances. Le portrait grossier des américains milliardaires qui tiennent des propos de café de commerce sur la capitalisme ou les scènes sur l'île déserte sont simplettes mais font sourire. Toutefois, sur le thème réjouissant du valet devenu maitre et du maître devenu valet, on peut préférer "L'île aux esclaves" de Marivaux. Reste le talent de Madonna dans la petite évocation musicale, seul moment où elle semble vraiment à l'aise. Car, malgré des tentatives dans les registres les plus variés (Recherche Susan désespérément, dick Tracy, le Snake eyes de Ferrara ou Ombres et brouillards), la chanteuse s'avère définitivement une actrice peu convaincante.

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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 01:29

http://ia.media-imdb.com/images/M/MV5BMTczMTgxMjc4NF5BMl5BanBnXkFtZTcwNjM5MTA2OA@@._V1_SX214_.jpg

 

Réalisation
Tom Tykwer    
Andy Wachowski    
Lana Wachowski    
 
Scénario
David Mitchell   Autreur du livre "Cloud Atlas"

Lana Wachowski   Scénario
Tom Tykwer   Scénario
Andy Wachowski   Scénario

Avec 

Tom Hanks ... Dr. Henry Goose / Hotel Manager / Isaac Sachs / Dermot Hoggins / Cavendish Look-a-Like Actor / Zachry

Halle Berry ... Native Woman / Jocasta Ayrs / Luisa Rey / Indian Party Guest / Ovid / Meronym

Jim Broadbent ... Captain Molyneux / Vyvyan Ayrs / Timothy Cavendish / Korean Musician / Prescient 2

Hugo Weaving ... Haskell Moore / Tadeusz Kesselring / Bill Smoke / Nurse Noakes / Boardman Mephi / Old Georgie

Jim Sturgess ... Adam Ewing / Poor Hotel Guest / Megan's Dad / Highlander / Hae-Joo Chang / Adam / Zachry Brother-in-Law

Doona Bae ... Tilda / Megan's Mom / Mexican Woman / Sonmi-451 / Sonmi-351 / Sonmi Prostitute

Ben Whishaw ... Cabin Boy / Robert Frobisher / Store Clerk / Georgette / Tribesman

Keith David ... Kupaka / Joe Napier / An-kor Apis / Prescient

James D'Arcy ... Young Rufus Sixsmith / Old Rufus Sixsmith / Nurse James / Archivist

Xun Zhou ... Talbot / Hotel Manager / Yoona-939 / Rose

David Gyasi ... Autua / Lester Rey / Duophsyte

Susan Sarandon ... Madame Horrox / Older Ursula / Yusouf Suleiman / Abbess

Hugh Grant ... Rev. Giles Horrox / Hotel Heavy / Lloyd Hooks / Denholme Cavendish / Seer Rhee / Kona Chief
  Robert Fyfe ... Old Salty Dog / Mr. Meeks / Prescient 1

Martin Wuttke ... Mr. Boerhaave / Guard / Leary the Healer

Robin Morrissey ... Young Cavendish

Brody Nicholas Lee ... Javier Gomez / Jonas / Zachry's Older Nephew

Ian van Temperley ... Enforcer
  Amanda Walker ... Veronica
  Ralph Riach ... Ernie
  Andrew Havill ... Mr. Hotchkiss
  Tanja de Wendt ... Mrs. Hotchkiss

Raevan Lee Hanan ... Little Girl with Orison at Papa Song's / Catkin / Zachry Relative 1

Götz Otto ... Groundsman Withers

Niall Greig Fulton ... Haskell Moore's Dinner Guest 2 / Mozza Hoggins

Louis Dempsey ... Haskell Moore's Dinner Guest 3 / Jarvis Hoggins
  Martin Docherty ... Eddie Hoggins

Alistair Petrie ... Haskell Moore's Dinner Guest 1 / Musician / Felix Finch / Lascivious Businessman

Zhu Zhu ... Megan Sixsmith / 12th Star Clone

Sylvestra Le Touzel ... Haskell Moore's Dinner Guest 5 / Nurse Judd / Aide in Slaughtership
  Jojo Schöning ... Papa Song Punk
  Laura Vietzen ... Young Ursula
  Thomas Kügel ... Ursula's Father
  Marie Rönnebeck ... Ursula's Daughter
  Ruby Kastner ... Young Girl
  Emma Werz ... Ursula's Granddaughter

Mya-Lecia Naylor ... Miro
  Korbyn Hawk Hanan ... Adam Grandson (as Korbyn Hanan)

Katy Karrenbauer ... Axwoman

Dulcie Smart ... Ursula's Mother / Herbalist
  Anna Holmes ... Scientist / Executive

Shaun Lawton ... Secretary
  Moritz Berg ... Porter
  Gigi Lee ... Zachry Relative
  Genevien Lee ... Zachry Relative

Cody Benjamin Lee ... Zachry Relative (en tant que Cody Lee)

Heike Hanold-Lynch ... Nurse Judd Look-a-Like

Victor Esteban Sole ... Mr. Roderick
  Kristoffer Fuss ... Lead Enforcer
  Marco Albrecht ... Scan Enforcer
  Gary McCormack ... Crane Operator

David Mitchell ... Union Spy
  Heiko Lehmann ... Enforcer (en tant que Enforcer)
 
  Willie Bennie ... Taxi Driver (non crédité)

Jon Donahue ... Moore's Accountant / Finch's Friend (non crédité)

Valerie Lillibeth ... Muse of the Lemon Prize Winner (non crédité)
  Barry Arthur McKay ... Student (non crédité)
  Jeremy Paxman ... Himself - Newscaster (non crédité)

Daniele Rizzo ... Co-Worker in San Francisco (non crédité)
  Lyly Schoettle ... Heroclone 02 (non crédité)

Liz Strange ... Newscaster (non crédité)
  Alexander Yassin ... Board Member / Indian Party Guest / Papa Song Guest (non crédité)

 

Production
Stefan Arndt .... producteur
Alex Boden .... producteur: Royaume-Uni
David Brown .... line producer: Royaume-Uni
José Luis Escolar .... line producer: Espagne
Grant Hill .... producteur
Philip Lee .... producteur executif
Marcus Loges .... line producer: Allemagne
Roberto Malerba .... co-producteur
Gigi Oeri .... producteur associé
Alexander Rodnyansky .... co-producteur
Uwe Schott .... producteur executif
Pearry Reginald Teo .... producteur executif : Ascension Pictures
Tom Tykwer .... producteur
Alexander van Duelmen .... co-producteur
Andy Wachowski .... producteur
Lana Wachowski .... producteur
 
Musique originale
Reinhold Heil    
Johnny Klimek    
Tom Tykwer    
 
Lumière
Frank Griebe    
John Toll    
 
Montage
Alexander Berner    

 

 


 

À travers une histoire qui se déroule sur cinq siècles dans plusieurs espaces temps, des êtres se croisent et se retrouvent d’une vie à l’autre, naissant et renaissant successivement… Tandis que leurs décisions ont des conséquences sur leur parcours, dans le passé, le présent et l’avenir lointain, un tueur devient un héros et un seul acte de générosité suffit à entraîner des répercussions pendant plusieurs siècles et à provoquer une révolution. Tout, absolument tout, est lié.

 

http://www.theartchemists.com/wp-content/uploads/2013/02/cloud-atlas-ben-whishaw-james-darcy.jpg

 

Cloud atlas est un casse-tête. Un véritable casse-tête. Jai adoré ce film mais après par quel bout le prendre? Mystère.

Le scénario? il entremêle les histoires, les époques, les personnages dansune mosaïque qui n'est pas facilement identifiable... seul le principe de l'action-réaction prévaut. Et encore, ce n'est pas forcément évident, tout est dans le montage et dans l'enchaînement des séquences. Reste un ballet d'images passionnantes et de sensations rendant le film indomptable à toute compréhension totale mais intense.

Il faut mentionner les acteurs tous prodigieux et réellement au service de cette oeuvre. Tous sans aucune exception sont exceptionnelles De Tom Hanks à Halle Berry et de mon préféré Hugo Weaving à Jim Sturgess en passant par le truculent Jim Broadbent.

Les images aussi et les atmosphères sont exceptionnelles. Chaque partie est dans une atmosphère différente avec une photo différente retraçant un genre différent (mention spéciale tout de même à la partie "polar" avec Halle Berry en journaliste).

A coup sûr mon coup de coeur.

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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 10:54

http://www.kelfilm.fr/bibliotheque/ADIEU_GARY_affiche.jpg

 

Réalisation
Nassim Amaouche  
 
Writing credits
Nassim Amaouche  

 

Avec 

Jean-Pierre Bacri ... Francis
  Dominique Reymond ... Maria
  Yasmine Belmadi ... Samir
  Mhamed Arezki ... Icham

Sabrina Ouazani ... Nejma
  Alexandre Bonnin ... José
  Hab-Eddine Sebiane ... Abdel
  Mohamed Mahmoud Ould Mohamed ... Hadj, le père d'Abdel et de Nejma (en tant que Mohamed Mahmoud)
  Azzedine Bouabba ... Azzedine

Bernard Blancan ... Michel, le voisin de Francis
  Frédéric Hulne ... Le laborantin (en tant que Francis Hulné)
  Abdelhafid Metalsi ... Le nouveau voisin
  Samir Joubran ... Le joueur de Oud
  Riad Berhail ... L'homme du supermarché
  Mariam Koné ... L'ange
 

Gary Cooper ... Link Jones / Benjamin Trane (images d'archive) (non crédité)

 

Jean-Philippe Andraca .... producteur
Christian Bérard .... producteur
 
Musique originale
Le Trio Joubran  
 
Lumière
Samuel Collardey  
 
Montage
Julien Lacheray  

 


 

En Ardèche, une cité ouvrière, plantée au milieu de nulle part, où survivent quelques habitants. Francis, veuf et ouvrier modèle à l'ancienne, continue de réparer la machine dont il avait la charge, dans l'usine désormais déserte. Son fils, Samir, qui sort de prison, trouve un travail au supermarché local, où son frère Icham (qui rêve d'un "retour lucratif" au Maroc) est déjà employé : coiffé d'un masque de souris de cartoon, il s'occupera du rayon fromages. Francis entretient une liaison amoureuse (et soi-disant secrète) avec sa voisine, Maria, qui vit seule avec son fils ado, José, qui reste enfermé dans le mutisme depuis que son père (surnommé Gary parce qu'il ressemblait à Gary Cooper) est parti avec une jeunette. Samir est attiré par la beauté du coin, Nejma, qui est serveuse dans un café. Un autre glande, un autre deale en fauteuil roulant.

 

http://www.lafermedubuisson.com/IMG/jpg/Adieu_Gary5_02.jpg

 

Primé au festival de Cannes (Semaine de la Critique), Adieu Gary est le premier film de Nassim Amaouche. Et il est d'ailleurs difficile d'en parler autrement que comme d'un premier film : d'une part parce qu'il séduit par la fraîcheur et l'originalité de son inspiration, d'autre part parce qu'il trouve ses limites dans un excès d'intentions assez typique des premières oeuvres. Ce qui s'impose d'emblée, c'est cette cité ouvrière en voie d'abandon où se déroule tout le film, qui prend, selon les moments, des allures de déciors de western, de village chaleureux ou de ville fantôme. Cet endroit hautement cinématographique diffuse une atmosphère étrange et assez inédite. Amaouche nous le présente comme une sorte de plate-forme de transit, pour des personnages qui s'efforcent de reprendre pied dans leur vie après une coupure traumatisante : un séjour en prison, la fermeture d'une usine, le départ d'un père. Tous les personnages sont entre deux eaux, entre deux contradictions : entre la réalité française et un Maroc fantasmé, entre la vieille culture ouvrière et la marche du temps, entre les humiliations du travail honnête et les dangers de la filière délinquante. Le film réunit ainsi un ample éventail de thèmes, au sein d'une construction cohérente, mais un peu étroite (1h15). Par ailleurs, Amaouche -avec le soutien de comédiens, tous impeccables (à commencer par Y. Belmadi, mort prématurément quelques jours avant la sortie du film) - met un grand soin à aborder ces sujets avec délicatesse, en évitant les idées trop simples. Et son application à trouver le ton juste est finalement payante.

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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 10:21

http://image.cinemaclock.com/images/posters/originals/59/imax__adrenalin5080.jpg

Réalisation
Marc Fafard  
 
Scénario
Marc Fafard  

Avec 
  Charles Bryan ... Himself
  Jon Devore ... Himself
  George Morris ... Narrator (voix) (en tant que George Marris)
  Adrian Nicholas ... Himself
  Katarina Olikainen ... Herself
  Mike Vail ... Himself

 

Production
Carl Deschenes .... producteur associé
Carl Samson .... producteur
 
Lumière
Peter Anderson  
Peter Degerfeldt  
Göran Widenby  
 
Montage
René Caron  

 


 

Amateurs de sensations fortes, ce documentaire vous est destiné. Il faut bien admettre que, même si l'on estime totalement ineptes les exploits des dingues de sauts libres et autres "base jumping" présentés ici, on est pris par le spectaculaire des images.

 

http://www.ufunk.net/wp-content/uploads/2010/09/Adrenaline-Rush-The-Science-of-Risk-2.png

 

"Science" du risque, ose le titre français. On ne voit pas très bien ce que la science vient faire là-dedans, hormis une référence consante et lourdement didactique à Léonard de Vinci, sur laquelle nous reviendrons. De quoi s'agit-il? de soi-disants exploits, magnifiés sans l'ombre d'une distance critique, de fous du risque. La caméra de Marc Fafard suit ainsi, à travers le monde, les performances d'adeptes du "vol libre", du "saut libre" et du "base jumping", qui consiste à se jeter dans le vide d'une haute falaise en déclenchant son parachute à l'ultime seconde. Des semaines d'entraînement, des heures de préparatifs, pour quelques secondes d'ivresse. Le saut à partir du sommet (300 mètres) du mur du fjord Katthamaren, en Norvège, est particulièrement spectaculaire. Une caméra légère a été fixée sur la têet de l'un des "sauteurs", l'image géante à l'écran hémisphérique de la Géode fait le reste : bien calé, bien à l'abri dans son fauteuil, on se prend à participer à cette dangereuse et vaine entreprise. Du côté du désert de Californie, c'est à des spécialistes du vol libre que nous avons affaire. Katarina Olikainen et Adrian Nicholas ont mis au point une combinaison spéciale leur permettant de voler après s'être lâchés d'un avion. Et le film de s'extasier sur la performance de Nicholas : une envolée de cinq minutes à près de 200 kilomètres par heure. Avec sa compagne Katarina, il va lancer un nouveau défi. Et voici Léonard de Vinci, présenté comme le père de tous ces férus du risque extrême : le paisible sédentaire de Florence et du Val-de-Loire en aurait probablement été surpris. Le père de la Joconde est maintenant presque aussi connu pour ses carnets de croquis : le film nous en montre quelques extraits. A noter que le célèbrissime homme-modèle, naguère repris par une agence d'interim, voit ici son sexe affecté d'une feuille de vigne : on est "politiquement correct" ou on ne l'est pas! C'est à l'une des plus connues des anticipations de ces carnets que vont se consacrer nos deux Américains : reconstituer le parachute que Vinci dessina en 1485, et prouver qu'il est efficace. Curieusement, cet exploit intéressant présenté par le réalisateur comme le clou de son film, est celui qui nous fait le moins palpiter. Décidément, on se fait toujours plus facilement avoir par l'esbroufe!

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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 00:51

http://bxpointofview.files.wordpress.com/2011/01/le-dernier-exorcisme-affiche-france.jpg

 

Réalisation
Daniel Stamm  
 
Scénario
Huck Botko    
Andrew Gurland  

Avec 

Patrick Fabian ... Cotton Marcus

Ashley Bell ... Nell Sweetzer

Iris Bahr ... Iris Reisen

Louis Herthum ... Louis Sweetzer

Caleb Landry Jones ... Caleb Sweetzer

Tony Bentley ... Pastor Manley
  John Wright Jr. ... John Marcus

Shanna Forrestall ... Shanna Marcus
  Justin Shafer ... Justin Marcus
  Carol Sutton ... Shopkeeper

Victoria Patenaude ... Motorist
  John Wilmot ... Spindly Man

Becky Fly ... Becky Davis

Denise Lee ... Nurse
  Logan Craig Reid ... Logan Winters
  Sofia Hujabre ... Cafe Manager

Adam Grimes ... Daniel Moskowitz
 
  Cy Fahrenholtz ... Churchgoer (non crédité)

Geraldine Glenn ... Churchgoer (non crédité)
  Cynthia LeBlanc ... Churchgoer (non crédité)
  Elton LeBlanc ... Churchgoer (non crédité)

 

Production
Marc Abraham .... producteur
Thomas A. Bliss .... producteur
Patrick Curd .... co-producteur executif
Ron Halpern .... producteur executif
Gabrielle Neimand .... co-producteur
Eric Newman .... producteur
Douglas Plasse .... co-producteur executif (en tant que Doug Plasse)
Eli Roth .... producteur
Patty Long .... line producer (non crédité)
 
Musique originale
Nathan Barr  
 
Lumière
Zoltan Honti  
 
Montage
Shilpa Sahi  

 

 


 

Quand il arrive dans une ferme, le révérend Cotton Marcus s’attend à réaliser un simple exorcisme sur un fanatique religieux troublé. Cependant, il est contacté en dernier recours pour aider une adolescente, Nell, possédée par un démon.
En arrivant à la ferme, l’exorciste se rend vite compte que rien n’aurait pu le préparer au mal qu’il va affronter alors qu’il s’apprête à filmer un documentaire avec toute une équipe de tournage.
Il est cependant trop tard pour faire marche arrière, les croyances du révérend seront ébranlées quand lui et son équipe devront trouver un moyen de sauver Nell avant qu'il ne soit trop tard pour elle...comme pour eux.

 

http://madmoizelle.com/carnets/horreur/files/2010/09/le-dernier-exorcisme.jpg

 

Un film faisant sembler de laisser planer le doute (dans un premier temps) sur les exorcismes pratiqués pour mieux revenir à cette sempiternel bataille entre le bien et le mal tel que les américains savent si bien le faire... enfin les américains croyants (ce qui est presque un pléonasme).

Pas plus mal filmé qu'autre chose, ce "Dernier exorcisme" lasse par son côté faux documentaire. L'horreur n'intervient véritablement qu'au bout de 3/4 d'heure, et le final est en queue de poisson. L'acteur jouant le révérend est... fatigué mais c'est son rôle alors il a la paupière qui descend comme Snoopy et on se demande si il ferait pas mieux de pioncer un peu avec le spectateur.

Reste une contorsionniste.... euh... une actrice parfois convaincante dans un rôle de possédée déjà vu et revu. a conseillier donc si vous n'avez jamais vu ce genre de film ou si vous avez une grand-mère riche et cardiaque (et encore, il y a tellement plus simple pour avoir l'héritage).

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10 mars 2013 7 10 /03 /mars /2013 21:33

http://data.sueursfroides.fr/affiche-le-mur-invisible-2555.jpg

 

Réalisation
Julian Pölsler  
 
Scénario
Marlen Haushofer   Livre

Julian Pölsler   Adaptation

Avec 
  Wolfgang M. Bauer ... Mann
  Ulrike Beimpold ... Luise

Martina Gedeck ... Frau
  Julia Gschnitzer ... Keuschlerin

Karlheinz Hackl ... Hugo
  Hans-Michael Rehberg ... Keuschler

 

Production
Wasiliki Bleser .... producteur
Jimmy C. Gerum .... line producer
Rainer Kölmel .... producteur
Antonin Svoboda .... producteur
Bruno Wagner .... producteur
 
Lumière
Markus Fraunholz  
Martin Gschlacht  
Bernhard Keller  
Helmut Pirnat  
Hans Selikovsky  
Richard Wagner   (en tant que Richi Wagner)
 
Montage
Thomas Kohler  
Bettina Mazakarini  

 


 

Une femme se retrouve seule dans un chalet en pleine forêt autrichienne, séparée du reste du monde par un mur invisible au-delà duquel toute vie semble s’être pétrifiée durant la nuit. Tel un moderne Robinson, elle organise sa survie en compagnie de quelques animaux familiers et s’engage dans une aventure humaine bouleversante.

 

http://data.sueursfroides.fr/photo-le-mur-invisible-2555-2.jpg

 

 

Sorte de Robinson Crusoé féminin, Le mur invisible est tiré d'un roman australien datant des 40's. C'est long et beau et on regrettera cette omniprésente voix off qui décrit sans cesse ce que nous voyons. (Rha, si on avais voulu un audio-book on l'aurait demander).

Reste des images sublimes tournée avec la RED (oui, désolé, je suis un peu technique mais ça va me passer) où  la nature est superbement représenté. Reste que l'histoire traîne. L'interprétation de Martina Gedeck (vu dans "La vie des autres") est magistrale est mérite la vision de l'ensemble.

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10 mars 2013 7 10 /03 /mars /2013 20:39

 

Réalisation
Harmony Korine  
 
Scénario
Harmony Korine  

 

Avec 

James Franco ... Alien

Selena Gomez ... Faith

Vanessa Hudgens ... Candy

Ashley Benson ... Brit

Rachel Korine ... Cotty

Heather Morris ... Bess

Lauren Vera ... Spring Breaker

Emma Holzer ... Heather

Gucci Mane ... Archie

Ash Lendzion ... Forest

Cait Taylor ... Tiffany

Vivian Fleming-Alvarez ... Bridemaid

Debbie Whited ... Court room attendee

Josh Randall ... Jock
  Tony Robinette ... Nerdy Boy

Ananda Milsa ... Bikini Party Girl

Thurman Sewell ... ATL Twin

Sidney Sewell ... ATL Twin

Michelle Hernandez ... Spring Break Girl

Courtney Paige Kramer ... Bride

Owen Harn ... Alien's Thug

Nicole Paris Williams ... Arcade Player victim 1

Ken Anthony II ... Archies Thug-club

Jarrett Ricker ... Jock #3
  B.J. Parker ... Jail Inmate

Jeph Cangé ... Archie's Thug

Shawn Larkin ... Snorting Jock
  John McClain ... Judge

Jeffrey Thomas Brown ... Motel Jock

Mattox Gardner ... Archie's Thug #2 (en tant que Billy Gardner III)
  Ivy Sinn    
  Brianna Borello ... A spring breaker

Dave Kramer ... Groom
  Carlee Miller ... Tourist on Bus
  Paige Anderson ... Police Officer Hines
  Kathryn Trail ... Spring Breaker #2
  Eric Russo ... Spring Breaker on Bus
  Dylan Ramus-Wright ... Party Guy
  Gordie Daniels ... Groomsman
  Zsannett Hernandez ... Bartender - House Party

Rod Grant ... Groomsman (non crédité)

Dayton Sinkia ... Arcade Player (non crédité)

 

Production
Charles-Marie Anthonioz .... producteur
Agnès B. .... producteur executif
Vikram Chatwal .... producteur executif
Chris Contogouris .... producteur executif
Megan Ellison .... producteur executif
Ted Field .... producteur executif
Jonathan Fong .... producteur associé
Jordan Gertner .... producteur
Chris Hanley .... producteur
Jane Holzer .... producteur executif
Vince Jolivette .... producteur executif
Susan Kirr .... co-producteur
Susan Kirr .... line producer
Miles Levy .... producteur executif
Scott Pierce .... producteur associé
Stella Schnabel .... producteur executif
Fernando Sulichin .... producteur executif
Wicks Walker .... producteur executif
Aeysha Walsh .... producteur executif
Mike Weber .... co-producteur
David Zander .... producteur
 
Musique originale
Cliff Martinez  
Skrillex  
 
Lumière
Benoît Debie  
 
Montage
Douglas Crise  

 

 


 

Pour financer leur Spring Break, quatre filles aussi fauchées que sexy décident de braquer un fast-food. Et ce n’est que le début… Lors d’une fête dans une chambre de motel, la soirée dérape et les filles sont embarquées par la police. En bikini et avec une gueule de bois d’enfer, elles se retrouvent devant le juge, mais contre toute attente leur caution est payée par Alien, un malfrat local qui les prend sous son aile… (Résumé Allociné)
Pour financer leur Spring Break, trois bouffes braque un fast-food et emmène dans leurs sillages Selena Gomez qui tire tronche pour faire la fête. Ils fument, boivent et baisent (mais pas trop) et se font choper par les flics à cause de la drogue. en bikini et avec une gueule de bois moyennement bien joué, elles se retrouvent devant le juge, mais contre toute attente, alien, un gangsta west-coast aux dents pourries un plan sur deux paye la caution et les prend sous son aile pour les tirer. (Résumé plus réaliste)

 

 

J'avoue avoir vu le film avec un à-priori négatif. En effet, j'ai déjà subi une première fois le travail d'Harmony Korine (dans l'anthologie fantastique, "la quatrième dimension", on y voyait Val Kilmer en prêcheur faire du vélo...) et je savais que le bonhomme avait un faible pour le fluo et les jumps-cut inutiles et... bah c'est encore le cas.

La première partie est une sorte de glorification du Spring Breaks américains où l'on y voit des nanas en bikini (de celles que vous ne verrais que dans les films et les clips de rap) boire, montrer ses seins et chercher le fun dans une sorte de quête vaine de.... bah de néant, c'est juste une quête de fun. Là, on commence à avoir les premières nausées. C'est jolie des filles en bikini qui boivent et qui se tripotent mais ça ne fait pas un film.

Puis le film devient malsain avec l'apparition d'Alien, une sorte de malfrat qui glorifie la mode gangsta initiée par Scarface (dont le film tourne en boucle dans la télé de son salon) ainsi que le consumérisme (en énonçant tout ce qu'il possède pendant de longues et douloureuses minutes). Est-ce une tentative de démythification de se qui à précéder? On l'aurait espérer mais non car le fond s'accorde très bien avec la forme... clinquant et vain avec des actrices venant de l'écurie Disney qui ne se salissent finalement pas tant que ça. De la provoc arty de beauf un concept que Korine nous assène encore une fois.

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10 mars 2013 7 10 /03 /mars /2013 10:35

Réalsation
Jérôme Boivin  
 
Scénario
Jacques Audiard   Scénario
Jérôme Boivin   Scénario
Ken Greenhall   Auteur du livre

 

Avec 
  Lise Delamare ... Madame Deville
  Jean Mercure ... Monsieur Cuzzo
  Jacques Spiesser ... Michel Ferrer
  Catherine Ferran ... Florence Morel
  Jean-Paul Roussillon ... Joseph Barsky
  Sabrina Leurquin ... Noelle
  Daniel Rialet ... Jean
  Evelyne Didi ... Marie Cuzzo
  Rémy Carpentier ... Roger Morel
  Jany Gastaldi ... Anne Ferrer
  François Driancourt ... Charles
  Ève Ziberlin ... Veronique
  Malcom Scrannage ... Jean-Jean
  Léa Gabriele ... Eva Braun
 
  Maxime Leroux ... Baxter (voice)

 

Production
Daniel Deschamps .... producteur executif
Patrick Godeau .... producteur
Ariel Zeitoun .... producteur
 
Musique originale
Marc Hillman  
Patrick Roffé  
 
Lumièrey
Yves Angelo  
 
Montage
Marie-Josée Audiard  

 

 


 

 

Baxter est un chien qui pense et désire se débarasser de la compagnie encombrante des hommes...

 

Quête d'un bull terreier à la recherche d'un être humain qui le comprend. Rarement un film français aura pu être aussi original. Violent et intelligent Baxter démonte les relations entre les hommes et leurs animaux de compagnie. En prenant le point de vue d'un chien cynique et penseur, exprimant clairement ses émotions de chiens, c'est toute la société française qui est retourné.

Lors de sa sortie Baxter a eu pas mal de mauvaises critiques venant d'amis des animaux (car, il faut l'avouer uin chien tueur, ils aiment pas trop... surtout quand il tue avec intelligence et que nous sommes loin de la série B), Baxter est un film à voir pour son climat atypique réellement noir. (Il est issu d'un livre paru dans la collection Série noire : Un Tueur pas comme les autres.)

L'image est sombre et réaliste sans fioriture. Le montage est concis et n'a pas de gras (le film dure 1h20), Boivin va à l'essentiel et c'est ça qui est bien.

Film que je vous conseille chaudement.

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